Souffrant dans l'obscurité de ma chambre,
cela me brise le cœur de voir qu'elle s'en va.
Une femme qui hante mon âme comme une ombre,
et dont le départ à jamais m'acheva.
" Vous n'êtes rien sans elle et vous l'avez accepté ".
Ô vile créature que vous êtes, amour !!!
Machiavel et cruel à mots bien empoisonnés,
faisant de mon malheur le chant d'un vulgaire troubadour.
Je commence à croire que je n'ai plus de chance,
que ma vie n'est qu'ornement d'orchidées fanées.
Les seins des femmes sont mon éternelle potence,
et mon évangile, la mélancolie d'un amant abandonné.
Le rêve prit fin d'une vie paisible et heureuse,
laissant place à l'amertume d'avoir tout perdu.
Je quitte ce monde à atmosphère venimeuse,
car, l'amour est dorénavant mon fruit défendu.
[~Kad~ 23/10/2013 16:12]
une belle plume, et des mots bien choisie, une âme meurtrie par une absence ou une perte ... un cri silencieux mais ohhh combien cruel ....en me mettant dans la peau du poète que tu es je dirai ceci ... " ... C'est mon premier, ma première fois, ma première grande histoire, et ma première et seule grande déchirure. Quand je pense à nous, je ne peux m'empêcher de me dire "et si... ", "et si je ne l'avais pas perdu ? ", cela me ronge. Pour moi cette relation c'était Roméo et Juliette, j'aurai été bien dans ses bras, et bien dans son lit aussi... Et j'aimais les projets qu'on avait à 2. C'était une belle époque, pas uniquement parce ce que j'étais avec elle mais aussi parce qu'il y avait de l'insouciance, pas de peur du lendemain, une époque lycée ....." voila....
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